Le web du futur sera-t-il résilient ? Comment le rendre compatible avec un monde qui va manquer de matières premières pour construire et alimenter les 100 milliards d’objets connectés prévus pour 2050 ? La solution pourrait résider dans le développement d’intelligences artificielles ou peut-être dans la décentralisation du Web… Et pourquoi pas dans un internet «symbiotique» ? Si on se désintoxiquait de ces 1 et de ces 0 qui ont rendu l’humanité dépendante en quelques années.
Les géants du web, au premier rang desquels le moteur de recherche GOOGLE, prennent-ils la mesure de leur impact environnemental ? Quelles sont leurs actions concrètes ? Les créateurs de contenus seront-ils les premières victimes de mesures coercitives pour forcer la sobriété du net. Experts et créateurs de contenus échangent leurs points de vue sur les contradictions d’un internet infini dans un monde fini.
Rejoints au château par leurs potes vidéastes (Fabien Olicard, Ilia Renon, Margaux Tips, Doc Seven, Céline H, Enjoy Phoenix, Max Bird et TomWallop), Lénie et Mathieu vont parler «solutions». Comment restreindre notre empreinte carbone ? Comment surfer plus sobrement sur le WEB ? Dans cet épisode, vous trouverez pêle-mêle, des interviews d’experts, un reportage en Afrique et un Quizz endiablé !
Entre des datacenters alimentés par des centrales à charbon et des smartphones au bon goût d’obsolescence programmée, notre internet virtuel s’ancre dans le réel avec un bilan carbone bien pourrave ! 2 ans après « La pollution du Web » Lénie et Mathieu font le point sur notre consommation et notre pollution numérique. Spoiler : ça s’est pas arrangé… mais alors, pas du tout. Pour vous remonter le moral, une belle surprise vous attend en fin de vidéo !
Réduire son empreinte écologique à la maison, c’est bien. Mais prolonger ses efforts au bureau, c’est devenu crucial.
Si les salarié·es sont de plus en plus sensibles au tri sélectif, au zéro déchet ou aux mobilités douces, c’est beaucoup moins le cas pour la pollution numérique.
Pourtant, selon une récente étude de GreenIT.fr, l’empreinte environnementale du numérique mondial correspondrait globalement à un septième continent de la taille de deux à cinq fois la France.
Prise de conscience loin d’être évidente
Green IT estime qu’en 2019, la planète compte 34 milliards d’équipements technologiques pour 4,1 milliards de personnes les utilisant. La masse de ces appareils atteindrait 223 millions de tonnes, soit l’équivalent de «270 millions de tours du monde en voiture en matière de gaz à effet de serre», précise Frédéric Bordage, créateur du club, expert indépendant en numérique responsable et auteur d’un livre consacré à la question.
Un chiffre alarmant, dont une main-d’œuvre parfois gourmande en confort numérique ne mesure pas les conséquences écologiques, contrairement au zéro papier ou au zéro déchet…
On le sait, il est impératif de revoir notre manière de consommer pour soulager la Terre en surchauffe. Mais qu’en est-il de notre rapport à Internet, ce grand pollueur invisible ? Ecosia a trouvé la solution pour renverser la vapeur et permettre aux internautes de surfer sans culpabilité.
Et si l’avenir de notre planète pouvait se jouer en un clic? Qu’il soit possible de reboiser l’ensemble de la Terre en restant derrière un écran? Grâce à Ecosia, nul besoin d’avoir la main verte, la bourse pleine ou un sachet de graines. Une simple connexion internet suffit.
Créé en Allemagne en 2009, Ecosia ne permet pas seulement de faire des recherches sur le web. Avec le soutien de ses partenaires, il reverse 80 % de ses bénéfices au profit de la reforestation d’espaces menacés à travers le monde. Après ça, si l’idée de rompre avec Google vous effraie encore, voici trois bonnes raisons d’abonder au projet philanthropique d’Ecosia….