Réduire son empreinte écologique à la maison, c’est bien. Mais prolonger ses efforts au bureau, c’est devenu crucial.
Si les salarié·es sont de plus en plus sensibles au tri sélectif, au zéro déchet ou aux mobilités douces, c’est beaucoup moins le cas pour la pollution numérique.
Pourtant, selon une récente étude de GreenIT.fr, l’empreinte environnementale du numérique mondial correspondrait globalement à un septième continent de la taille de deux à cinq fois la France.
Prise de conscience loin d’être évidente
Green IT estime qu’en 2019, la planète compte 34 milliards d’équipements technologiques pour 4,1 milliards de personnes les utilisant. La masse de ces appareils atteindrait 223 millions de tonnes, soit l’équivalent de «270 millions de tours du monde en voiture en matière de gaz à effet de serre», précise Frédéric Bordage, créateur du club, expert indépendant en numérique responsable et auteur d’un livre consacré à la question.
Un chiffre alarmant, dont une main-d’œuvre parfois gourmande en confort numérique ne mesure pas les conséquences écologiques, contrairement au zéro papier ou au zéro déchet…
Source : Ne sous-estimez pas votre pollution numérique au boulot | korii.
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